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Todos los derechos reservados  DACOT 2014

By Anne Marie

DACOT     Dañú ATV Club Outlaw Trail

[29] Tulancingo, Hgo.

Samedi 15 Novembre 2014


Dernière sortie de l’année. La 29ème depuis que nous avons formé le club Dacot. Pour diverses raisons, il n’y aura pas de sortie en décembre, mais on compte sur tous les participants assidus pour reprendre le cours de nos aventures au cours de cette nouvelle année qui se présente.


Nous avons profité d’un pont pour partir sur un week-end prolongé. Nous sommes samedi 15 et le départ est prévu pour 15h. Cette fois ci nous allons découvrir les alentours de Tulancingo dans l’état de Hidalgo.


Comme toujours, le départ s’est fait avec un peu de retard mais vu que nous n’avons rien d’autre à faire que de nous installer à l’hôtel où nous allons passer les 2 nuits à venir, il n’y a pas urgence. Nous partons donc de notre village il est 15h30.


L’équipe n’est pas au complet à la sortie du village, il manque Pepin et sa famille ainsi que Jorge et sa famille aussi.


Pepin nous appelle, nous venons de prendre l’autoroute, il va nous rattraper à la station d’essence. Il faut bien faire le plein et cette fois ci, Jipé fait parti de ceux qui n’ont pas pu remplir le réservoir avant le départ.


En fait, c’est un tout petit peu plus loin que nous voyons arriver Pepin, nous sommes juste à l’entrée de l’Arco Norte. Il ne manquera que Jorge mais il ne devrait pas tarder à arriver lui aussi puisqu’au dernière nouvelle, ils sortaient de Querétaro.


Nous quittons l’autoroute il est 17h. L’entrée de Tulancingo n’a rien d’accueillant, je m’imaginais autre chose, cela me rappelle un peu l’arrivée à Guerrero Negro, lorsque nous avons fait le voyage en février en Basse Californie du Sud. Seulement, là, c’est tout de même bien plus important.


Juste à l’entrée de la ville, il y a un collège qui porte le nom d’une artiste peintre du nom de Frida Khalo. Ses peintures sont connues non seulement au Mexique, sinon dans le monde entier.


Il est 17h 30. L’hôtel « La Joya » se trouve à l’entrée de la ville, très bel hôtel, c’est sûrement un des plus beaux depuis que nous faisons des sorties en quads. Accueillant, propre, agréable, spacieux et un grand parking pour nos remorques, ce qui est très appréciable.


Nous avons des nouvelles de Jorge, ils sortent de Querétaro, ce qui veut dire qu’ils ne vont pas arriver de bonne heure et comme la majorité du groupe a sauté le repas de midi, nous prenons le temps de nous installer dans nos chambres respectives et nous nous retrouvons au restaurant de l‘hôtel.   


Nous commençons par commander un apéritif, il faut fêter cette dernière sortie de l’année. Tout le monde a faim aussi nous passons commande, Jorge et sa famille nous rattraperons lorsqu’ils arriveront.  


Le repas est excellent et le service rapide et efficace. Tout le monde y va de sa petite histoire qu’elle ait ou non un rapport avec les sorties Dacot.


Jorge arrive nous en sommes au dessert, en fait, il est parti bien plus tard que prévu de chez lui. Ils prennent place à table, lui, sa femme Laura et 2 de ses enfants, Jorgito et Andrea. Nous sommes maintenant au complet, c'est-à-dire 16 personnes.


La soirée bat son plein, mais vers les 23h Jipé et moi, Ana, nous regagnons notre chambre, pour le reste du groupe la soirée continue, rendez vous est donné demain  matin à 8h15.


Bonne nuit à tous.


Dimanche 16 Novembre 2014:


Il semblerait que tout le monde ait passé une bonne nuit, sauf peut être chez Sabás, la chambre était exposée au froid, mais on va y remédier en demandant un changement d’habitation pour la nuit qui vient.


Comme toujours, les hommes sont les premiers dehors, ils en profitent pour descendre les RZR, les quads et les motos. Tout sera prêt pour prendre la route tout de suite après le petit déjeuner.


Le restaurant ouvre un peu avant 8h, mais pour le public, le service commence à 8h15 et nous sommes tous fidèles, à l’heure, au rendez vous dans le hall de l’hôtel. 


Encore une fois nous n’avons pas à nous plaindre, ni du service, ni de la qualité des plats et tout le monde mange d’un bon appétit, cela fait plaisir à voir. Nous ne savons pas encore où nous allons faire le repas du midi, il vaut donc mieux prendre ses précautions.


A 10h nous laissons l’hôtel et l’aventure commence dès la sortie du parking. En tête de la caravane, il y a la camionnette de Sabás avec bien sûr Sabás, Toña et Polito. Derrière viennent Bache, puis Fer et Andrea, tous les 3 en quad, suivent Jorgito et Jorge en moto cross 2 roues, ensuite viennent les RZR avec à bord, dans le premier Baldo et Graciela et dans le second, Jipé et moi, Ana. La camionnette de Pepin ferme la marche, à l’intérieur il y a Pepin, Conchita, Anacelia et Laura. Nous sommes au complet.


Si l’entrée de la ville de Tulancingo n’est pas très belle, dès que nous prenons l’avenue qu’il y a sur la gauche de l’hôtel, c’est tout autre chose, l’avenue est bordée de palmiers et très bien entretenue, de belles maisons s’alignent les unes à côté des autres.  


Nous arrivons au pied d’une côte abrupte, infranchissable pour les deux camionnettes, il faut faire le grand tour alors que pour les quads, motos et RZR il n’y a aucun problème, nous franchissons ce petit cap facilement. En haut nous rejoignent les 2 camionnettes et chacun reprend sa place dans la caravane. Nous avons un principe, nous nous suivons toujours dans le même ordre, comme cela il n’y a pas de risque de perdre l’un de nous.


Un beau Saint Bernard que son patron caresse affectueusement, nous regarde passer.


Nous nous arrêtons pour que Jorge et sa famille puisse faire le plein d’essence, on va être sur la route toute la journée et nous ne savons pas si nous allons rencontrer beaucoup de stations d’essence ou non, alors il vaut mieux qu’ils prennent leurs précautions.


Il est en fait 10h15 quand nous commençons vraiment la route que nous avons tracée sur le GPS. Nous faisons une halte pour laisser passer un cortège funéraire.


Nous passons des sentiers boueux, aux chemins de terre, nous traversons de petits cours d’eau, de grandes flaques plutôt boueuses, nous roulons sur de belles routes au revêtement impeccable, nous traversons de petits bosquets, de petits villages où les enfants nous saluent et où les chiens nous poursuivent. Tout est encore très vert, les pluies ont duré bien plus longtemps cette année dans la saison mais il n’empêche que par endroit le maïs a manqué d’eau et est plutôt rachitique.


A 11h30 nous faisons un petit arrêt, déjà parce que nous aimons bien nous arrêter pour savoir si tout va bien chez tout le monde, Sabás passe voir Baldo et Jipé pour apporter quelques corrections à la route qu’ils ont enregistrée sur leur GPS, nous faisons quelques photos et nous reprenons la route.


Il y a des travaux d’entretient et nous devons faire une toute petite déviation, nous devons  passer sous un pont et juste à la sortie, ceux qui sont en moto 2 roues, en profitent pour passer au dessus d’un tout petit pont de pierre style ancien, très joli, mais ni les camionnettes, ni les RZR ne peuvent passer dessus, il est bien trop étroit. Le paysage est magnifique. Aux couleurs feux de l’automne se mêlent le vert intense des prairies.


A 12h10 nous faisons une nouvelle halte. Le coin est magnifique, nous avons une vue splendide sur la lagune « el Tejocotal » etat de Puebla et c’est de le coin que nous choisissons pour notre photo de groupe. Tout le monde prend la pose, l’appareil d’Anacelia est callé sur le capot de l’une des camionnettes, il n’y a plus qu’à prendre la pose et sourire. Voilà, cette photo fera la couverture de la page de Dacot pour cette sortie.


Il est 12h40 et nous remontons chacun dans nos engins, la descente vers la lagune est continue et nous y arrivons il est juste 13h.


Personne ne s’attendait à trouver un coin aussi joli, sauf Baldo et sa famille qui eux sont déjà venus à plusieurs reprise se promener par ici. C’est d’ailleurs Baldo qui a eu l’idée de cette sortie.


La lagune est immense on n’en voit pas le bout. Il y a comme à la plage, des pédalos, des barques pour faire des promenades, beaucoup de monde qui pic nique et bien sûr mise à part les petits restaurants genre pagodes, il y a aussi les marchands ambulants et nous n’avons pas plutôt un pied parterre qu’ils sont tous autour de nous à nous offrir leur marchandise. Nous nous laissons tous tenter par les bonbons typiques du pays, dont la majorité, sont enrobés de piment.


Nous traversons des petits villages et chacun a son église, elles sont toutes simples à l’image des personnes qui  vivent par ici, mais elles sont très bien entretenues et leurs couleurs chaudes tranchent avec le panorama.


Nous nous arrêtons encore une fois, il est 15h et la vue est magnifique, nous sommes à 1310 m.s.n.m. et nous sommes entourés de bananiers. Nous allons descendre jusqu’à 875 m.s.n.m. ce sera le point le plus bas de notre route.


A 16h30 nous faisons une nouvelle halte, cette fois ci pour nous ravitailler, il n’y a pas de restaurant dans le coin, mais une épicerie qui fait le bonheur de tous, nous achetons des fruits, des sachets de chips, des paquets de galettes, des boissons et nous restons là, à discuter tout en grignotant.


Fer vient me chercher. Il y a un chien à côté de lui et de Graciela qui a une corde rongée autour du cou. Il me demande si je ne pense pas qu’elle est trop serrée. Je regarde et en effet, c’est un chien qui s’est échappé de chez lui et qui a gardé un morceau de corde autour du cou. Effectivement, je trouve qu’il n’y a pas beaucoup de place entre la corde et cou pour passer les doigts. J’appelle Jipé pour qu’il m’apporte un couteau et je coupe la corde. Le chien ne bouge pas, il reste là à nous regarder. On lui a déjà jeté quelques morceaux de biscuit, mais moi je lui donne directement à la gueule, mes chips. La première il la prend un peu sauvagement, alors je lui dis que comme ça non, qu’il faut qu’il la prenne doucement. Cela fait rire les jeunes de voir que je lui parle en français, n’empêche que les autres chips, il les prend du bout des lèvres.


Ce n’est pas un chien de pure race, mais il a beaucoup du beagle. Nous repartons il est 16h45. Le chien reste là, derrière nos camionnettes et Jipé me dit qu’il va se faire écraser s’il reste là, alors je vais, je le prends dans mes bras comme un bébé et je le pose sur le trottoir et nous partons.  


Mon plus grand regret et celui de Graciela…..L’avoir laissé. On va en reparler toute la soirée, ce que l’on aurait fait pour le garder encore une nuit à l’hôtel comment on l’aurait installée, je lui avais même trouvé un nom, « dimanche ». Graciela était prête à l’installer sur la terrasse de son appartement. Si on avait pu faire marche arrière dans le temps, on l’aurait aujourd’hui avec nous. 


Nouvel arrêt essence. Il est 18h30 et la nuit commence à tomber, du coup on abandonne la route tracée sur le GPS et nous rentrons directement à l’hôtel par les grands axes. Le soleil n’étant plus de la balade, il commence à faire froid et surtout pour ceux qui sont sur les engins parce que ceux qui font la route en camionnette n’ont pas le même problème.


Nous avons parcouru en tout 147km. Pas mal pour une seule journée en quad.


Nous avons une surprise en arrivant à l’hôtel. Exceptionnellement, le restaurant est fermé. Nous regagnons nos habitations pour une bonne douche et nous nous retrouvons tous dans le hall de l’hôtel à 20h30. Nous avons décidé d’aller manger dans un Vips qui se trouve à 5mn en voiture (chaine de restaurants que l’on retrouve dans tout le pays). Toutes les femmes nous montons dans la camionnette de Sabás que conduit Toña et tous les hommes vont dans celle de Pepin mais comme ils sont plus nombreux que nous, alors que nous sommes toutes bien au chaud à l’intérieur, pour les hommes ce n’est pas tout à fait pareil, il y en a une partie à l’arrière, à l’air libre. Mais tout se passe dans la bonne humeur.


On nous prépare une table spéciale, il ne faut pas oublier que nous sommes 16 et que nous aimons bien nous retrouver tous autour de la même table même si pour discuter nous sommes obligés de former des clans. Le souper est excellent mais le service beaucoup trop lent, surtout pour nous qui en fait avons sauté un repas.


Nous quittons le restaurant il est 23h. Nous regagnons l’hôtel et nous nous souhaitons une bonne nuit, demain nous nous retrouvons pour l’heure du petit déjeuner puis ce sera le retour, tranquillement, à la maison.


Bonne nuit à tous et rendez-vous demain à 8h30, dans le hall. 


 

Lundi 17 Novembre 2014


Après une très bonne nuit, nous nous retrouvons tous dans le hall à 8h30. Nous sommes un peu indécis sur le restaurant où nous allons prendre notre petit déjeuner. Il y a plusieurs propositions, mais comme certains ne veulent pas trop s’attarder de manière à rentrer sur Mexico a une heure raisonnable, nous décidons d’aller au plus proche et le réceptionniste de l’hôtel nous conseille un restaurant spécialisé dans la barbacoa. Comme nous aimons tous ce plat, nous sommes tous d’accord évidemment pour nous y rendre.


Nous arrivons sur place il est 9h et nous allons y rester jusqu’à 10h30.


Cette route n’a jamais été prévue comme route gastronomique, mais tout ce que l’on peut dire, c’est que l’on a bien mangé, partout où nous avons fait une halte pour faire un repas ou un petit déjeuner.


L’accueil dans ce restaurant est plus que chaleureux, le serveur nous explique bien, en détail, chaque plat, pour la plupart, nous les connaissons, mais chaque région à sa touche personnelle, ou alors le nom n’a rien à voir avec ce que nous avons l’habitude de manger dans le DF ou dans l’état d’Hidalgo.


Ils ont de la crème de lait excellente, elle est présentée dans des petits pots de yaourt. La viennoiserie est un vrai délice et ne parlons pas de la barbacoa et pourtant nous sommes difficiles pour ce plat qui est aussi une spécialité de notre région et pour avoir un vrai spécialiste de la barbacoa, dans notre village. Mais là, on n’est pas déçu et il est difficile de résister à tout ce que nous propose le serveur.


A la sortie du restaurant, il y a une camionnette qui vend des petits chiots American Bully, ils sont adorables et encore une fois, je me laisserais bien tenter mais mise à part que le prix est élevé, j’ai mes 3 grands qui m’attendent à la maison et qui ne serait sûrement pas heureux de voir que je reviens avec un petit chiot. Comme je passe la main dans leur cage, ils m’attrapent par la manche de mon pull.


Voilà, il nous faut laisser le restaurant et retourner à l’hôtel pour charger les affaires et prendre la route du retour à la maison.


Notre village se trouvant à 190km de Tulancingo, il ne faut pas trop s’attarder. Nous prenons donc la route il est 13h50.


Nous roulons bien, pas d’embouteillage. Au moment de prendre l‘autoroute, le distributeur ne nous donne pas le ticket d’entrée mais Baldo nous dit que comme nous avons une clé spéciale pour prendre l’autoroute et que le paiement se fait automatiquement, nous n’avons pas besoin du ticket, donc c’est en toute confiance que nous nous engageons sur l’autoroute.


Mais à la sortie il y a un problème parce que cette fois ci, le lecteur ne reconnaît pas notre carte ce qui fait que sans ticket, on n’a aucune preuve de l’endroit exact où nous sommes entrés, du coup nous causons un embouteillage monstre parce qu’il faut que la personne attende de recevoir une copie de la vidéo qui confirmera l’enregistrement de notre entrée et on pourra nous donner ensuite le montant du trajet. Le reste du groupe se stationne juste après la sortie pour nous attendre de manière à continuer la route ensemble.


En chemin, Toña nous a appelé pour nous dire que Silvia, la sœur de Sabás, nous attend pour le repas, tout est prévu, Silvia nous prépare des pâtes et de son côté, Toña, par téléphone, a appelé une boucherie qu’elle connaît très bien pour qu’un chauffeur de taxi nous livre sa commande à domicile.


Du coup, ceux qui voulaient rentrer de bonne heure en oublie leur bonnes résolutions et s’unissent à nous autour de la grande table qu’a dressé Silvia.


Et voilà, encore un très bon repas prit en commun. Tout le monde parle en même temps, mais personne n’oublie de manger.


Il est presque 20h lorsque finalement nous nous disons au revoir.


Je ne sais pas quand, maintenant, sera la prochaine sortie, mais ce qu’il y a de certain, c’est que cela sera l’année prochaine.


Alors bonne fin d’année à tous, bon réveillon, la santé pour tous et surtout, la même envie de continuer faire parti du club Dacot et à profiter de toutes les sorties que nous offrirons les organisateurs.


JOYEUX NOEL ET BONNE ANNEE


Nous ont accompagnés dans cette sortie

  

  1. En camionnette :

  • Sabás, Toña, Polito

  • Pepin, Conchita, Anacelia, Laura

  

  1. En quad :

  • Bache

  • Fer

  • Laura

  

  1. En moto 2 roues :

  • Jorge

  • Jorgito


 

  1. En RZR :

  

  • Baldo, Graciela

  • Jipé, Ana